Le 3 juin 2007, le Togo est frappé par un accident d’hélicoptère. Dix-sept ans plus tard, Kalvin Soiresse Njall et Pierrot Attiogbe observent que cet événement et ses survivants semblent tombés dans l’oubli. Ils nous encouragent à réfléchir sur l’importance de se souvenir et de préserver les souvenirs dans la conscience collective.
Ils proposent d’instaurer des commémorations et de nommer des rues, des avenues avec le nom de celles et ceux qui sont morts lors de cette tragédie. Ils suggèrent également d’intégrer ces événements dans le programme scolaire comme moyen de perpétuer ce devoir de mémoire. Différentes solutions sont proposées afin que chacun puisse prendre conscience et se souvenir de ce qu’il s’est passé. Lisez l’article complet ici